Les 30 ans de l’association française Rue de l’Avenir sont le prétexte à l’organisation des « 1ères assises des espaces publics ». Elles questionneront à la fois l’espace public comme bien commun, l’érosion de la vie sociale et la perte de l’urbanité dans de nombreuses petites et moyennes villes[1. ce constat me paraît devoir se faire aussi dans les grandes et très grandes villes … isL], l’importance de la nature en ville et les nouvelles relations entre l’espace public et le monde à venir des mobilités.
Les premières assises de l’espace public auront le plaisir d’accueillir :
> Antoine Fleury, géographe et chercheur au CNRS,
> Alfred Peter, paysagiste et urbaniste,
> Thierry Paquot, philosophe de la ville et professeur des universités
> et bien d’autres intervenants passionnants.
ATTENTION, PREMIÈRE JOURNÉE ANNULÉE [2018-10-02]
Grandes lignes du programme
> Le 17 octobre à Montreuil (métro parisien)
Le matin, au départ du parvis de la mairie : « Des espaces publics plus sûrs et plus agréables à vivre« . Visites de sites réaménagés ou en devenir.
L’après-midi à la salle Franklin, 60 rue Franklin : « Quelles priorités pour les années à venir ?« . Deux tables rondes.
> Le 18 octobre, à Paris, au FIAP Jean Monnet, rue Cabanis dans le 14e
Le matin : « L’espace public, un bien en commun« . Interventions de chercheurs et de praticiens.
L’après-midi : « Changer la donne dans les périphéries urbaines« . Quatre ateliers suivis d’une plénière de débat et de conclusions.
Ces journées bénéficient du soutien du Ministère de L’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, ainsi que du programme UNE VOIRIE POUR TOUS.
Elles questionneront à la fois l’espace public comme bien commun, l’érosion de la vie sociale et la perte de l’urbanité dans de nombreuses petites et moyennes villes, l’importance de la nature en ville et les nouvelles relations entre l’espace public et le monde à venir des mobilités.
Elles mettront l’accent sur les territoires variés de la périphérie urbaine, là où les problématiques de déplacements sont plus dominées par l’usage des modes motorisés, en raison des distances et de la moins bonne couverture par les transports collectifs, territoires les plus fragiles où l’on constate, dans un contexte hostile aux modes actifs, qu’émergent aussi de nouvelles formes de sociabilité et une mobilité vecteur de coopération et de solidarité.
Vous trouverez le PROGRAMME de ces journées sur le site internet de la RUE DE L’AVENIR.
INSCRIPTION (contribution demandée pour le repas) sur Eventbrite.