
Sur la mobilité, l’exposition présentée aux Archives nationales pose les questions. Le dernier livre d’Olivier Razemon nous donne des réponses. Les idées préconçues sont souvent trompeuses … Chronique impatiente de la mobilité quotidienne.
Sur la mobilité, l’exposition présentée aux Archives nationales pose les questions. Le dernier livre d’Olivier Razemon nous donne des réponses. Les idées préconçues sont souvent trompeuses … Chronique impatiente de la mobilité quotidienne.
Le Plan Vélo & Mobilités actives, présenté par le Gouvernement français en septembre dernier, est fantaisiste dans ses ambitions et se donne des moyens bien trop faibles. Il est d’une naïveté confondante.
Le Plan vélo 2018 ressemble à un catalogue désorganisé d’objets posés en vrac. Ses objectifs ont l’air d’une plaisanterie et sa réalisation risque de passer inaperçue. Il n’y a vraiment rien là-dedans pour dynamiser la révolution des mobilités en France.
Mais au moins 3 mesures devraient avoir un effet de levier redoutable. Cet article est la suite de celui du 15. MàJ (note 3) le 20 sept. à 16 h 30.
A peine Hulot est-il parti que, sans doute, le gouvernement a voulu montrer qu’il continuait l’action. Ce plan vélo, attendu depuis de nombreux mois, plusieurs fois reporté (la dernière fois le 20 juillet) au point que certains n’y croyaient plus, a été présenté hier à Angers par trois ministres. Et peut-être pour bien faire voir l’importance du sujet, c’est le Premier ministre lui-même qui le présenta en un long discours de presque une demi-heure.
Hans Kremers a refait les calculs. Ce n’est pas 200 millions qu’il faut mettre sur le Plan vélo, mais au moins 400 en année courante, abondés d’une forte dotation exceptionnelle. Voyons les faits. 21 h 30.
DERNIERE HEURE (12 sept) : un message audio d’Elisabeth Borne.