Isabelle et le vélo

Cette passerelle, située aux pieds du château, au-dessus d'une toute petite rivière nommée l'Amasse, a le mérite d'épargner aux cyclistes la non-hospitalière route qui longe la Loire, en les faisant passer en parallèle mais en contre-bas de la digue. Elle leur évite ainsi de visiter ses commerces et son syndicat d'initiatives.

Elle évite aussi à la Ville de rendre cet axe plus facile d'usage pour tous, mais ne devrait pas lui épargner la mise en double-sens (cycliste) de la rue Victor-Hugo, explique le Collectif cycliste du secteur.

Parce que en revenant du Clos Lucé, ou du diverticule de Chenonceaux, les cyclistes continueront à y passer, puisque c'est la seule route qui y mène, et que de toutes façons elle est sur l'itinéraire principal ! Ils continueront donc à prendre le sens interdit puisqu'il n'y a aucun moyen de l'éviter, sauf à faire un circuit incompréhensible dans lequel plus d'un se perd.

A défaut de comprendre pourquoi ce sens interdit existe, on peut deviner pourquoi cette passerelle a été faite ... c'est que la Région Centre la paye à 100 %. Notons que les aménagements d'accès n'étaient pas encore faits à l'heure où j'écris ces lignes.

La Loire à vélo sert à éloigner les cyclistes, et ce n'est pas le seul exemple ...

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Du côté de Nevers, qui est le point de départ de la Loire à vélo, toujours aucune indication.

En revanche, le Département a bien fait les choses. A Cuffy il a même créé un vrai "point zéro" sous une forme monumentale, et jalonné l'itinéraires de "clous kilométriques" qui m'inquiètent pour leur glissance, mais qui sont d'un joli effet. 

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• Le chantier est décrit dans La Nouvelle République : Loire à vélo : connection faite par la passerelle d'Amboise. 18 avril. 
• L'association de Tours, CC37.

Le cas d'Amboise vu par Isabelle-et-le-vélo :

• Loire à vélo, où en est-on ? septembre 2010
• Loire à vélo, à qui se fier ? octobre 2010