jeudi, 05 mars 2009
Route : l’échelle de la catastrophe.
« C’est comme si, chaque semaine, cinq avions de ligne s’écrasaient », déclare Jacques Barrot
- « On peut dire d’une certaine manière que la violence routière est aussi dramatique qu’un conflit militaire. » Jacques Barrot, commissaire européen aux Transports, rapporté par Le Parisien, 26 avril 2007.
- La route tue plus que le paludisme et la tuberculose, fait remarquer l’ONU, selon le journal Le Parisien du 7 avril 2008.
- Le journal de la DSCR, janvier 2009, nous rapporte encore que Jacques Barrot a déclaré «C’est comme si, chaque semaine, cinq avions de ligne s’écrasaient».
La même revue indique que 33% des tués en ville sont des piétons, et 27% des personnes âgées.
Le maire de Copenhague conclue :
« Les citadins sont pris en otage ! C’est moins une question d’éducation –on ne peut pas demander aux enseignants de régler ce problème- qu’aux gestionnaires des villes d’agir ».
Y'en a pas un peu marre de ce truc?
14:57 Publié dans Actualités, Personnalités | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : auto, santé, sécurité
Commentaires
Aujourd'hui, on ne peut plus se limiter aux morts violentes, il faut aussi tenir compte des décès engendrés par la pollution de l'air.
Écrit par : Jean-Charles Gosselin | vendredi, 06 mars 2009
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