200 pour brevet de 200, mais aussi toutes les pratiques du vélo. Cette fois-ci longs articles sur les voyages à vélo. L’un, rapide, de Brest à Menton, le second en Belgique, assez sportif lui aussi, et le 3° en Sibérie, et là c’est du voyage à la Cyclo-Camping international… pas étonnant, le magazine a offert à CCI une page entière pour l’affiche du Festival.
Le 4°, c’est un portrait de Daniel François, 67 ans, 30 ans sur la route à regarder le monde « droit dans les yeux ». Le 5°, un voyage d’un an et demi en Asie, qui a appris à son auteur « la confiance envers les autres, l’acceptation de la solitude, et de soi-même ». Le 6°, un entretien avec Claude Marthaler, un grand ami de CCI et surtout, lui aussi, un grand voyageur; et, enfin, le voyage de Katia en Alaska, un pays « où l’on s’offre le luxe immense d’être soi-même ». Le dernier article présente le second épisode du voyage vers l’Alaska, en cours, du groupe Colybride, composé de 4 jeunes gars : l’apprentissage du nomadisme et de la vie de groupe.
Ce numéro aurait pu s’intituler « Du voyage et de soi-même », il a été baptisé « Rester vivant », avec pour sous-titre « l’esprit du voyage au long cours ». En vente dans les kiosque Relay et d’autres bonnes adresses. Il sera au Festival international du voyage à vélo, ce Week-end à Paris, comme son confrère Cycle!magazine, dont le dernier numéro a été présenté récemment ici (Cycle! magazine vient de sortir).
Les réservations pour le Festival international du voyage à vélo s’arrêtent aujourd’hui à 15 heures. Ensuite, achat sur place (vite épuisé, venir dès l’ouverture samedi à 10 h). Le programme est ici. Sinon, stands et rencontres sur l’organisation de son voyage à vélo. Nos deux revues y seront, mais aussi de nombreux livres de voyages à vélo, guides de voyage à vélo, cartes pour voyage à vélo, vélos de voyage, tentes adaptées … etc. Tout est décrit avec le programme, et le plan (approximatif) est ici.
Vous pouvez aussi vous abonner. Le magazine est trimestriel et l’année vous coûtera 22 €.
Cool ce blog. Tout ce qui permet d’aimer et de faire aimer le vélo ! Et de lutter pour son développement.
J’aime bien 200 même s’il me donne souvent des boutons. Il y a de la lecture en français correct sans trop d’anglicisme mais des lubies non assises sur la technique : le monoplateau, le bike packing, la promo d’équipements inutiles. Mais surtout des manques de cohérence sur la sécurité : un n° qui encense les tenues claires et l’éclairage de qualité et le n° suivant qui montre des cyclos tout habillés de noir. Comprenne qui pourra !
Je continue à l’acheter malgré tout.
Bien d’accord, la mode poussive (Rapha…) des cyclos en fixie tout en noir est lugubrement ridicule, faussement classe, totalement morbide. Que certains sortent masqués se prenant pour batman ou des justiciers de la nuit qui échappent aux autorités ne me surprend pas (quoique dans le genre furtif il y a mieux que le noir), mais que ce magazine en soit vitrine me choque. Mais bon il n’y pas autant de pubs tapageuses que dans d’autres qui poussent uniquement à l’achat.