
C’est un véritable rêve qui fut créé en 2010 au Havre par trois amis. Hans Kremers, Isabelle Lesens et Jean-Luc Saladin à une terrasse de café. C’est ainsi que souvent se fait l’histoire. (Image : REV de Montréal)
C’est un véritable rêve qui fut créé en 2010 au Havre par trois amis. Hans Kremers, Isabelle Lesens et Jean-Luc Saladin à une terrasse de café. C’est ainsi que souvent se fait l’histoire. (Image : REV de Montréal)
Partant de l’exemple de Bordeaux-Métropole Hans Kremers nous alerte en 6 questions sur les nombreux effets pervers de l’accroissement des trottinettes et autres objets de mobilité en libre-service sans bornes. Il n’est vraiment pas raisonnable de continuer à fermer les yeux.
Aux Pays-Bas la révolte contre les scooters continue. Cette fois l’attaque porte sur les scooters en libre-service. Une étude montre qu’ils ne signent pas un début d’abandon de l’auto mais directement un évitement des modes plus sains. C’est une bonne raison de les combattre.
Les batailles ne sont jamais gagnées. Aux Pays-Bas on a constaté en 2020 une baisse sensible des déplacements à vélo. Cette baisse est bien sûr liée à l’épidémie. Elle a varié nettement selon les provinces sans qu’on puisse en déterminer les causes.
La vélorue semble être en France mal aimée, ou bien mal comprise. Pourquoi n’a-t-elle fait l’objet d’aucun document spécifique du Cerema, contrairement à la chaussée à voie centrale banalisée (CVCB) ?
Hans Kremers nous dresse le tableau de la situation concrète des vélorues en France : l’histoire, l’usage, les règles, le potentiel.
La comparaison avec ce qu’ont fait Allemagne et Pays-Bas n’est pas en faveur de la France. Elle l’emporte sur certains aspects, mais moins sur la qualité de ce qui est évalué.
Hans Kremers s’intéresse à nouveau aux vrais chiffres du plan vélo de France. Et là il constate que notre pays se fait sérieusement distancer par le nord. Depuis septembre la Wallonie fait beaucoup mieux que la France.
Les choix d’un pays sont révélateurs de ses options politiques. C’est le cas de la France pour les engins de mobilité personnelle à moteur (EDP-M), alias trottinettes électriques. En matière d’environnement comme de sécurité routière leur coût est délibérément négligé. Nous avons des chiffres, et c’est énorme.
Il y a 40 ans, en 1979, première mondiale à Delft : le premier réseau cyclable urbain était prêt. Prêt et complet.
–> Exposé de la méthode rigoureuse, adaptée à la situation du moment, avec des objectifs clairs et des investissements nécessaires affichés. Les résultats ont suivi.
Le salon Fiets en Wandelbeurs est l’évènement annuel unique où tout participant à l’éco-système de la randonnée sait qu’il doit se rendre. C’est là que se font les réputations … et qu’est élue la meilleure véloroute de l’année. Cette année c’est la véloroute danoise n°8 qui l’emporte, devant le Mont-St-Michel.
Le Plan Vélo & Mobilités actives, présenté par le Gouvernement français en septembre dernier, est fantaisiste dans ses ambitions et se donne des moyens bien trop faibles. Il est d’une naïveté confondante.
Hans Kremers a refait les calculs. Ce n’est pas 200 millions qu’il faut mettre sur le Plan vélo, mais au moins 400 en année courante, abondés d’une forte dotation exceptionnelle. Voyons les faits. 21 h 30.
DERNIERE HEURE (12 sept) : un message audio d’Elisabeth Borne.
Pâques, pour les Chrétiens, c’est la fête de la résurrection. C’est bien pour cela que JC2C a choisi ce jour (certes ce n’est pas très élégant) pour lancer son nouveau vélo. Il s’appelle Velibhop (Vélib’hop) et se présente comme une résurrection, un hymne à la liberté, une proposition commerciale raccord avec le temps, bref, une création française qui devrait faire fuir tous les dragons chinois, ainsi que les successeurs maladroits. C’est le retour de celui sur qui on peut compter, rien de moins.
Peinture ou dorure, sérieux ou marketing, on trouve de tout dans les classements de villes. Mais des convergences se dessinent, qui tendent à disqualifier la plus célèbre d’entre les enquêtes. Rigueur ou paillettes ?
Invasion de vélos sans bornes aujourd’hui à Paris, après Lille et en même temps qu’en banlieue ouest (92). La vélosphère était déjà en ébullition sur les VLS sans stations, le phénomène datant principalement de cette année, mais la France ne se croyait pas concernée.
Que vont faire Martine Aubry, Anne Hidalgo et leurs collègues? Cette invasion est-elle une bonne nouvelle? Qu’ont fait leurs collègues étrangers? Voici encore un article de Hans Kremers qui va les aider à réfléchir, et déjà deux nouvelles implantations annoncées (18 octobre 2017)